Le Repos
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Un mouvement est suggéré de la vision au visible.
Le cheminement du travail est ici. Poser un regard sur le monde où la beauté est partout, mais aussi interroger notre solitude.
Notre condition d’homme du monde fait de nous des habitants de la musique et du corps.
La lumière pour aller plus loin n’est qu’une ombre, légère, un oiseau invisible, des oiseaux envolés.
Affirmé dans une première partie, le trait devient alors plus léger et incisif, il affleure la feuille, déchire l’espace en laissant par d’innonbrables fissures le vide envahir la forme, abandonnant les corps à leur devenir incertain et leur mobilité inquiète.
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